Cela m’interpelle beaucoup. J’ai mon beau-frère qui a été diagnostiqué schizophrène à l’adolescence (il a 36 ans). Il est sous lourde médication et complètement isolé socialement.
Le haut-potentiel n a jamais été exploré.
Comment peut-on lancer cette perche à lui et la famille, pour l’inviter a en parler a son psy, sans créer de drama ? Car je suis moi-même en pleine recherche, je souhaite passer le test QI après avoir fait une anamnèse allant fortement dans le sens du haut potentiel.
Et lui, s’est construit en tant que "adulte ayant des caractéristiques schizotypiques".
Et après ? Si le résultat est positif, qu’il est bien haut potentiel, est-ce qu’il pourra être aidé dans le sens de son potentiel, vu que ce n’est pas encore vraiment admis, pris en compte ou compris par les spécialistes de la médecine (psy et co) ?
Auriez vous des pistes pour lancer l’idée que peut-être il serait bien de faire un test QI.
Bonjour,
Cela m’interpelle beaucoup. J’ai mon beau-frère qui a été diagnostiqué schizophrène à l’adolescence (il a 36 ans). Il est sous lourde médication et complètement isolé socialement.
Le haut-potentiel n a jamais été exploré.
Comment peut-on lancer cette perche à lui et la famille, pour l’inviter a en parler a son psy, sans créer de drama ? Car je suis moi-même en pleine recherche, je souhaite passer le test QI après avoir fait une anamnèse allant fortement dans le sens du haut potentiel.
Et lui, s’est construit en tant que "adulte ayant des caractéristiques schizotypiques".
Et après ? Si le résultat est positif, qu’il est bien haut potentiel, est-ce qu’il pourra être aidé dans le sens de son potentiel, vu que ce n’est pas encore vraiment admis, pris en compte ou compris par les spécialistes de la médecine (psy et co) ?
Auriez vous des pistes pour lancer l’idée que peut-être il serait bien de faire un test QI.
Je vous remercie par avance.