Je ne crois pas que des exercices soient utiles lorsqu’on est un schizophrène qui de l’avis des psys doit ingurgiter des doses faramineuses de médicaments afin de ne pas ainsi rechuter jusqu’à même sa mort. Il me paraît très difficile de faire ceux-ci lorsqu’on est abruti par toutes sortes de “drogues” et de toute façon je ne crois pas alors à l’efficacité de ceux-ci sous fortes doses de celles-ci. Les exercices n’ont peut-être alors que pour but que de faire croire que bien que l’on prenne toujours ainsi des médicaments à vie on peut améliorer sérieusement malgré tout alors la qualité réelle de celle-ci ! Actuellement les véritables associations d’usagers en psychiatrie (pas celles qui parlent à la place des malades pour leur faire dire des choses que ceux-ci n’ont jamais réellement dites) face aux abus des psychiatres en matière de médicaments sont révoltées par la chronicisation de pratiquement tous les malades de ceux-ci ! On ne voit jamais de malades guéris de la schizophrénie dans les cabinets des psychiatres et pour cause ! Comment aurais-je pu guérir (je n’ai pas d’autres mots car c’est celui qui correspond le mieux à mon vécu et à mon ressenti à ce sujet) si j’avais en 2004 écouté ma psychiatre psychanalyste lorsque celle-ci m’a alors déclaré : “Vous n’y arriverez pas !” en réponse à mon désir de sevrage de mes somnifères, tranquillisants, antidépresseurs, normothymiques, antipsychotiques, etc. que je prenais pour certains depuis alors plus de quarante ans ? Quant à l’hôpital spécialisé (dans les troubles et les maladies du sommeil) où j’avais alors aussi fait part de ce même désir de sevrage de tous mes médicaments déjà cités, on m’y a alors répondu : “Vous comprenez bien que si ça fait plus de quarante ans que vous prenez des somnifères et des tranquillisants on ne peut rien faire pour vous à ce sujet ! Voyez avec votre psychiatre psychanalyste !” J’ai essayé non sans difficultés de me sevrer alors moi-même et maintenant dix ans plus tard quel est le résultat ? Soit je ne prends plus rien comme médicament soit je ne prends plus qu’un demi ou un quart de la dose minimum en ambulatoire recommandée en matière de schizophrénie par le laboratoire qui le fabrique ! Où est la rechute tant annoncée par les psys ? Par rapport à 2001 où mon quotient intellectuel n’était alors que de 119 en 2009 celui-ci était alors supérieur à 130 et le rapport médical du psychogériatre disait bien que cela ne pouvait être dû qu’à mon sevrage entièrement réussi (contre l’avis des psys, je le rappelle). Les exercices à mon avis c’est bien voire facile pour les gens qui sont en bonne santé mais certainement pas pour les gens qui prennent souvent lourdement des médicaments qui ont surtout pour fonction de ralentir leur pensée. Ce qui m’a permis d’être enfin à mon avis complètement et définitivement guéri de ma schizophrénie c’est mon travail psychanalytique sur moi-même avec ou sans l’aide des psys. Pas des exercices à caractère cognitif (attention, mémoire, etc.) ! Et c’est alors qu’enfin sevré de tous mes problèmes psychologiques j’ai pu bien que plus de quarante ans plus tard enfin me sevrer (contre l’avis des psys, je le rappelle encore une fois) de tous mes médicaments psychotropes.
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EXERCICES COGNITIFS ? NON MERCI !
Je ne crois pas que des exercices soient utiles lorsqu’on est un schizophrène qui de l’avis des psys doit ingurgiter des doses faramineuses de médicaments afin de ne pas ainsi rechuter jusqu’à même sa mort. Il me paraît très difficile de faire ceux-ci lorsqu’on est abruti par toutes sortes de “drogues” et de toute façon je ne crois pas alors à l’efficacité de ceux-ci sous fortes doses de celles-ci. Les exercices n’ont peut-être alors que pour but que de faire croire que bien que l’on prenne toujours ainsi des médicaments à vie on peut améliorer sérieusement malgré tout alors la qualité réelle de celle-ci ! Actuellement les véritables associations d’usagers en psychiatrie (pas celles qui parlent à la place des malades pour leur faire dire des choses que ceux-ci n’ont jamais réellement dites) face aux abus des psychiatres en matière de médicaments sont révoltées par la chronicisation de pratiquement tous les malades de ceux-ci ! On ne voit jamais de malades guéris de la schizophrénie dans les cabinets des psychiatres et pour cause ! Comment aurais-je pu guérir (je n’ai pas d’autres mots car c’est celui qui correspond le mieux à mon vécu et à mon ressenti à ce sujet) si j’avais en 2004 écouté ma psychiatre psychanalyste lorsque celle-ci m’a alors déclaré : “Vous n’y arriverez pas !” en réponse à mon désir de sevrage de mes somnifères, tranquillisants, antidépresseurs, normothymiques, antipsychotiques, etc. que je prenais pour certains depuis alors plus de quarante ans ? Quant à l’hôpital spécialisé (dans les troubles et les maladies du sommeil) où j’avais alors aussi fait part de ce même désir de sevrage de tous mes médicaments déjà cités, on m’y a alors répondu : “Vous comprenez bien que si ça fait plus de quarante ans que vous prenez des somnifères et des tranquillisants on ne peut rien faire pour vous à ce sujet ! Voyez avec votre psychiatre psychanalyste !” J’ai essayé non sans difficultés de me sevrer alors moi-même et maintenant dix ans plus tard quel est le résultat ? Soit je ne prends plus rien comme médicament soit je ne prends plus qu’un demi ou un quart de la dose minimum en ambulatoire recommandée en matière de schizophrénie par le laboratoire qui le fabrique ! Où est la rechute tant annoncée par les psys ? Par rapport à 2001 où mon quotient intellectuel n’était alors que de 119 en 2009 celui-ci était alors supérieur à 130 et le rapport médical du psychogériatre disait bien que cela ne pouvait être dû qu’à mon sevrage entièrement réussi (contre l’avis des psys, je le rappelle). Les exercices à mon avis c’est bien voire facile pour les gens qui sont en bonne santé mais certainement pas pour les gens qui prennent souvent lourdement des médicaments qui ont surtout pour fonction de ralentir leur pensée. Ce qui m’a permis d’être enfin à mon avis complètement et définitivement guéri de ma schizophrénie c’est mon travail psychanalytique sur moi-même avec ou sans l’aide des psys. Pas des exercices à caractère cognitif (attention, mémoire, etc.) ! Et c’est alors qu’enfin sevré de tous mes problèmes psychologiques j’ai pu bien que plus de quarante ans plus tard enfin me sevrer (contre l’avis des psys, je le rappelle encore une fois) de tous mes médicaments psychotropes.
Schizo GUÉRI