J’ai une amie qui est schizophrène et on se connaît depuis environ neuf mois. Donc on commence à bien se connaître puisqu’on parle assez souvent. J’aborde souvent le sujet de la guérison avec elle. J’aimerai vraiment l’aider en étant là pour elle.
En lisant ce témoignage je me suis posé une question. Charlotte décrit des idées de grandeur (magie, etc). Vaut-il donc mieux dans nos conversations rester dans la réalité, je veux dire parler de choses réelles, tangibles ? Pour éviter justement que des idées de grandeur s’implantent.
Mais difficile de rester sur la réalité car pour moi, l’imaginaire est important.
Bonjour,
J’ai une amie qui est schizophrène et on se connaît depuis environ neuf mois. Donc on commence à bien se connaître puisqu’on parle assez souvent. J’aborde souvent le sujet de la guérison avec elle. J’aimerai vraiment l’aider en étant là pour elle.
En lisant ce témoignage je me suis posé une question. Charlotte décrit des idées de grandeur (magie, etc). Vaut-il donc mieux dans nos conversations rester dans la réalité, je veux dire parler de choses réelles, tangibles ? Pour éviter justement que des idées de grandeur s’implantent.
Mais difficile de rester sur la réalité car pour moi, l’imaginaire est important.
Voilà, j’espère avoir été clair !